Le Pays De France - Le prince William aux Emirats pour parler climat

Paris -
Le prince William aux Emirats pour parler climat
Le prince William aux Emirats pour parler climat

Le prince William aux Emirats pour parler climat

Le prince William s'est rendu jeudi aux Emirats arabes unis, une première visite dans ce riche Etat pétrolier du Golfe axée sur l'environnement.

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Deuxième dans l'ordre de succession au trône britannique, le duc de Cambridge a planté des arbres avec des écoliers dans la réserve naturelle de Jubail Mangrove Park à Abou Dhabi, la capitale.

A son arrivée, il s'est "réjoui" sur Twitter de "discuter de la question vitale de la collaboration avec les Emirats et les partenaires internationaux pour parvenir à un monde plus écologique".

A Abou Dhabi, il a rencontré cheikh Khaled ben Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, un haut responsable local. Les deux hommes ont évoqué les "initiatives environnementales ayant un impact mondial", selon l'agence de presse officielle des Emirats WAM.

Avant la conférence de l'ONU sur le climat en octobre dernier, le prince William avait exhorté les dirigeants du monde à passer à l'action, et à ne pas se contenter de "belles paroles".

"Je veux que les choses dont j'ai profité, la vie au grand air, la nature, l'environnement, je veux que ce soit toujours là pour mes enfants et pas seulement mes enfants mais les enfants de tout le monde", avait-il dit.

Le prince William s'est ensuite rendu jeudi dans l'émirat voisin de Dubaï, où il est allé au port de Jebel Ali, un des plus important au monde, puis a visité le site d'Expo 2020, la première exposition universelle organisée par un pays du Moyen-Orient.

La visite vise aussi à renforcer les forts liens entre les deux pays après que les Emirats, ancien protectorat britannique, ont célébré les 50 ans de leur fondation en 1971.

En septembre dernier, les deux gouvernements ont annoncé un plan d'investissement des Emirats au Royaume-Uni, axé sur la technologie, les infrastructures et la transition énergétique et d'une enveloppe de 10 milliards de livres (11,7 milliards d'euros).

(P.Toussaint--LPdF)